Premières impressions, Avis & Points de Vue
Fred : DreadBall… que dire sinon…… QUEL PIED !!!
Quel plaisir que de retrouver un jeu, faisant penser, à vue d’œil, à Blood Bowl, mais s’approchant plus de « Speedball » que j’avais adoré sur l’Amiga 600... il y a 20 ans !
Ces joueurs qui doivent se battre pour récupérer, ou garder la balle, et aller marquer, le tout dans un univers style Warhammer 40 000, c’était fait pour moi.
La partie est rapide, les règles plutôt simples à assimiler. Je suis juste impatient de tester des figurines spéciales pour voir le plus que cela peut apporter au jeu.
Quel plaisir que de retrouver un jeu, faisant penser, à vue d’œil, à Blood Bowl, mais s’approchant plus de « Speedball » que j’avais adoré sur l’Amiga 600... il y a 20 ans !
Ces joueurs qui doivent se battre pour récupérer, ou garder la balle, et aller marquer, le tout dans un univers style Warhammer 40 000, c’était fait pour moi.
La partie est rapide, les règles plutôt simples à assimiler. Je suis juste impatient de tester des figurines spéciales pour voir le plus que cela peut apporter au jeu.
Mes notes
- Intérêt (visuel, plateau, figs…) :
- Jouabilité (assimilation des règles) :
- Fluidité (rapidité et tempo du jeu) :
- Plaisir (personnel) :
- Intérêt (visuel, plateau, figs…) :
- Jouabilité (assimilation des règles) :
- Fluidité (rapidité et tempo du jeu) :
- Plaisir (personnel) :
17/20
17/20
17/20
18/20
Un jeu que je recommanderais à tous les fans de tactique, de foots US et d’univers futuriste.
Seb : DreadBall est une sorte de mix entre du Hockey sur Glace, du Basket et du Lacrosse saupoudré effectivement d'une pincée de Speedball. Ce qui nous donne au final un jeu de sport futuriste assez violent, plein de rebondissements et de bourre-pifs.
Là où BloodBowl pêche dans sa jouabilité (si t'as un peu plus de bol que ton adversaire, tu gagnes, sinon, dans l'cul lulu), DreadBall propose un vrai challenge tactique, avec des actions spectaculaires, et un jeu qui ne s'arrête à aucun moment.
Ultra-rapide, la première partie jouée avec Fred fut un vrai moment de plaisir. J'en redemande !
Notez que la toute première action de Fred provoqua la mort d'un de mes Guards ! Une belle entrée dans la matière !
Et malgré quatre joueurs sortis sur Blessures, j'ai tout de même gagné 7-0 au 12e Tour !
Là où BloodBowl pêche dans sa jouabilité (si t'as un peu plus de bol que ton adversaire, tu gagnes, sinon, dans l'cul lulu), DreadBall propose un vrai challenge tactique, avec des actions spectaculaires, et un jeu qui ne s'arrête à aucun moment.
Ultra-rapide, la première partie jouée avec Fred fut un vrai moment de plaisir. J'en redemande !
Notez que la toute première action de Fred provoqua la mort d'un de mes Guards ! Une belle entrée dans la matière !
Et malgré quatre joueurs sortis sur Blessures, j'ai tout de même gagné 7-0 au 12e Tour !
Mes notes
- Intérêt (visuel, plateau, figs…) :
- Jouabilité (assimilation des règles) :
- Fluidité (rapidité et tempo du jeu) :
- Plaisir (personnel) :
- Intérêt (visuel, plateau, figs…) :
- Jouabilité (assimilation des règles) :
- Fluidité (rapidité et tempo du jeu) :
- Plaisir (personnel) :
15/20
16/20
19/20
19/20
Alors, vous allez me dire que mes notes sont élevées.
A cela je dirai : "C'est pas faux...". Et j'ai pourtant tout compris !
En restant sérieux, j'ai commencé à créer un jeu de sport futuro-post-apocalyptique il y a quelques temps, inspiré du film "Le Sang des Héros" avec Rutger Hauer.
Et vous me croirez ou non, mais les règles était à 80% similaires aux règles de DreadBall. Pas étonnant que je me retrouve pleinement dans ce jeu.
Eh oui, j'étais arrivé aux mêmes conclusions de Jake Thornton, sans connaître son travail à ce moment-là, mais reconnaissons le, il a fait un bien meilleur travail que moi, et surtout totalement abouti.
Bref, j'ai abandonné mon idée, vu que le système de Jake - oui, je me permets de l'appeler Jake, soyons fou - propose un système encore mieux maîtrisé de mes règles.
Mais je compte toutefois adapter mon jeu avec le système de Jake, vu que ce n'est pas le même univers.
Mais revenons à nos moutons...
La boite est composée de nombreuses figurines, Orx/Goblins et Humains. Dès le départ, ça sent BloodBowl a plein nez. Le matériel proposé, un plateau assez classique, avec un look rappelant TRON, est plutôt agréable à regarder. Un paquet de cartes, d'allure assez sommaire. On sent qu'on a recherché l'utile et le pratique plutôt que l'esbrouffe.
Les pions quand a eux sont franchement déplorables. On regrette directement ces pions en papier épais... et on préfèrera se jeter sur les pions en plastique vendus dans le commerce (encore un investissement... certes... légèrement abusé... certes aussi... mais les pions plastiques valent vraiment le coup).
On s'amusera alors à tripatouiller ses pions d'Action comme des jetons de Poker, pour les connaisseurs.
Le jeu est ultra fluide, pour peu qu'on a assimilé toutes les règles ; elles sont loin d'être compliquées, et on découvre au fur et à mesure toutes les possibilités qu'offrent ce jeu. Et elles sont nombreuses.
Le jeu est également très rapide. Les tours s'enchainent à une vitesse effrenées et les points sont marqués avec des actions rapidement spectaculaires.
Tout dans ce jeu se prête au fun, au spectacle, à l'ambiance.
Tactiquement, c'est franchement très bon. Les jets de dés ne vont pas vous pourrir votre tour comme dans BloodBowl, et on peut véritablement organiser un plan d'attaque, élaborer un schéma tactique efficace, pour contrer l'équipe adverse.
Les différentes équipes proposées dans la première édition (qu'ils nomment "Season 1") sont composées d'Humains (la Corporation), d'Orx et de Gobelins (équivalents aux Orques de GW), de Forge Fathers (des Nains), et de Veer-myn (sorte de Skavens de l'espace). Autant le dire tout de suite, les quatre équipes proposent quatre styles différents de jeu, et tout cela reste totalement équilibrés. Un sacré plus pour ce jeu.
Autant dans BloodBowl on recherche la castagne et les morts, autant dans DreadBall c'est principalement un jeu de mouvements et de positions. Oh, mais il y a quand même de la castagne, mais ça n'est pas ce qui vous fera gagner une partie.
La triche est autorisée, mais terriblement sanctionnée.
DreadBall reste un fantastique jeu, qui arrive là où on ne l'attendait pas et qui mérite votre attention la plus soutenue !
A cela je dirai : "C'est pas faux...". Et j'ai pourtant tout compris !
En restant sérieux, j'ai commencé à créer un jeu de sport futuro-post-apocalyptique il y a quelques temps, inspiré du film "Le Sang des Héros" avec Rutger Hauer.
Et vous me croirez ou non, mais les règles était à 80% similaires aux règles de DreadBall. Pas étonnant que je me retrouve pleinement dans ce jeu.
Eh oui, j'étais arrivé aux mêmes conclusions de Jake Thornton, sans connaître son travail à ce moment-là, mais reconnaissons le, il a fait un bien meilleur travail que moi, et surtout totalement abouti.
Bref, j'ai abandonné mon idée, vu que le système de Jake - oui, je me permets de l'appeler Jake, soyons fou - propose un système encore mieux maîtrisé de mes règles.
Mais je compte toutefois adapter mon jeu avec le système de Jake, vu que ce n'est pas le même univers.
Mais revenons à nos moutons...
La boite est composée de nombreuses figurines, Orx/Goblins et Humains. Dès le départ, ça sent BloodBowl a plein nez. Le matériel proposé, un plateau assez classique, avec un look rappelant TRON, est plutôt agréable à regarder. Un paquet de cartes, d'allure assez sommaire. On sent qu'on a recherché l'utile et le pratique plutôt que l'esbrouffe.
Les pions quand a eux sont franchement déplorables. On regrette directement ces pions en papier épais... et on préfèrera se jeter sur les pions en plastique vendus dans le commerce (encore un investissement... certes... légèrement abusé... certes aussi... mais les pions plastiques valent vraiment le coup).
On s'amusera alors à tripatouiller ses pions d'Action comme des jetons de Poker, pour les connaisseurs.
Le jeu est ultra fluide, pour peu qu'on a assimilé toutes les règles ; elles sont loin d'être compliquées, et on découvre au fur et à mesure toutes les possibilités qu'offrent ce jeu. Et elles sont nombreuses.
Le jeu est également très rapide. Les tours s'enchainent à une vitesse effrenées et les points sont marqués avec des actions rapidement spectaculaires.
Tout dans ce jeu se prête au fun, au spectacle, à l'ambiance.
Tactiquement, c'est franchement très bon. Les jets de dés ne vont pas vous pourrir votre tour comme dans BloodBowl, et on peut véritablement organiser un plan d'attaque, élaborer un schéma tactique efficace, pour contrer l'équipe adverse.
Les différentes équipes proposées dans la première édition (qu'ils nomment "Season 1") sont composées d'Humains (la Corporation), d'Orx et de Gobelins (équivalents aux Orques de GW), de Forge Fathers (des Nains), et de Veer-myn (sorte de Skavens de l'espace). Autant le dire tout de suite, les quatre équipes proposent quatre styles différents de jeu, et tout cela reste totalement équilibrés. Un sacré plus pour ce jeu.
Autant dans BloodBowl on recherche la castagne et les morts, autant dans DreadBall c'est principalement un jeu de mouvements et de positions. Oh, mais il y a quand même de la castagne, mais ça n'est pas ce qui vous fera gagner une partie.
La triche est autorisée, mais terriblement sanctionnée.
DreadBall reste un fantastique jeu, qui arrive là où on ne l'attendait pas et qui mérite votre attention la plus soutenue !
